L’absence de stratégie industrielle du gouvernement est dramatique socialement et écologiquement. Elle affaiblit des territoires entiers, précarise des familles et fragilise la France face aux grandes transitions écologiques.
Le combat courageux et digne que mènent les salariés d’Ascoval depuis quatre ans mérite mieux que le mépris et l’hypocrisie du gouvernement. Agnès Pannier-Runacher et Bruno Le Maire font mine de ne pas pouvoir sauver les emplois alors qu’il ne manque que la participation de l’Etat, actionnaire principal du groupe Vallourec, pour débloquer la situation. Ce choix politique contredit les promesses faites et répétées par Emmanuel Macron lui-même depuis 2015. Cette attitude est indécente et insultante pour les salariés.
Plus timide pour « signer un chèque » quand il s’agit de sauvegarder des emplois que pour distribuer des millions d’Euros en supprimant l’ISF, le gouvernement montre une nouvelle fois que le racisme social est sa marque de fabrique.
Comment l’Etat peut-il refuser de jouer son rôle d’actionnaire principal de Vallourec et renoncer à peser pour une solution pérenne ? Pourquoi ne demande t-il pas des comptes sur les millions d’Euros d’aides publiques directes ou indirectes perçus par Vallourec depuis des années ? Pourquoi refuser d’envisager une nationalisation provisoire pour sauvegarder les emplois ?
L’absence de stratégie industrielle du gouvernement est dramatique socialement et écologiquement. Elle affaiblit des territoires entiers, précarise des familles et fragilise la France face aux grandes transitions écologiques auxquelles elle doit répondre.
Présent ce matin sur le site, j’ai pu exprimer, avec le comité local du mouvement, le soutien de Génération·s aux salariés, à leurs familles et à toutes celles et tous ceux qui se battent à leurs côtés au quotidien.
Le combat courageux et digne que mènent les salariés d’Ascoval depuis quatre ans mérite mieux que le mépris et l’hypocrisie du gouvernement. Agnès Pannier-Runacher et Bruno Le Maire font mine de ne pas pouvoir sauver les emplois alors qu’il ne manque que la participation de l’Etat, actionnaire principal du groupe Vallourec, pour débloquer la situation. Ce choix politique contredit les promesses faites et répétées par Emmanuel Macron lui-même depuis 2015. Cette attitude est indécente et insultante pour les salariés.
Plus timide pour « signer un chèque » quand il s’agit de sauvegarder des emplois que pour distribuer des millions d’Euros en supprimant l’ISF, le gouvernement montre une nouvelle fois que le racisme social est sa marque de fabrique.
Comment l’Etat peut-il refuser de jouer son rôle d’actionnaire principal de Vallourec et renoncer à peser pour une solution pérenne ? Pourquoi ne demande t-il pas des comptes sur les millions d’Euros d’aides publiques directes ou indirectes perçus par Vallourec depuis des années ? Pourquoi refuser d’envisager une nationalisation provisoire pour sauvegarder les emplois ?
L’absence de stratégie industrielle du gouvernement est dramatique socialement et écologiquement. Elle affaiblit des territoires entiers, précarise des familles et fragilise la France face aux grandes transitions écologiques auxquelles elle doit répondre.
Présent ce matin sur le site, j’ai pu exprimer, avec le comité local du mouvement, le soutien de Génération·s aux salariés, à leurs familles et à toutes celles et tous ceux qui se battent à leurs côtés au quotidien.
Benjamin Lucas
Secrétaire général de Génération·s
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