Instaurons une journée de solidarité… des riches !

Génération·s défendra cette proposition d’une journée de solidarité financée par le capital dans le cadre du grand débat du 19 mars prochain à Montreuil où cinq grands patrons du CAC 40 sont invités à dialoguer avec des citoyens.

Sous le faux prétexte de la solidarité, La République en marche propose une journée de travail forcé pour les salariés. Les Français travailleraient une journée sans être payés. 

Génération·s rappelle la proposition portée par Benoît Hamon : créer une journée de solidarité financée par le capital, une journée de solidarité des riches. Pour ce faire, Benoît Hamon et Génération.s proposent de mettre à contribution tous les revenus d’une journée du capital, de la rente, de la spéculation au service du financement de la dépendance de nos aînés. Plutôt que de ponctionner encore et toujours les salariés, faisons contribuer ceux qui s’enrichissent sur le travail des autres. 

La politique d’Emmanuel Macron est douce et laxiste à l’égard des plus riches, bénéficiaires de la suppression de l’ISF, et brutale avec les plus modestes, victimes régulières du mépris gouvernemental. Le gouvernement exige sans cesse des salariés, des fonctionnaires, des retraités, des plus pauvres, de faire toujours plus d’efforts pour toujours moins de pouvoir d’achat, de protection sociale et de service public. 

Génération·s défendra cette proposition d’une journée de solidarité financée par le capital dans le débat public et plus particulièrement dans le cadre du grand débat du 19 mars prochain à Montreuil où cinq grands patrons du CAC 40 sont invités à dialoguer avec des citoyens.